Ant. ad Offertorium. Ps. 118, 47 et 48.
Meditábor in mandátis tuis, quæ diléxi valde : et levábo manus meas ad mandáta tua, quæ diléxi.
Je veillerai la nuit, les genoux sur la terre,
Pour pouvoir méditer tous Vos commandements –
Ils me sont si doux et si chers !
Je lèverai les mains, et Vos commandements,
Je les appliquerai tout le jour pour Vous plaire,
Car je les aime tendrement.