Allelúia, allelúia. V/.Ps. 113, 11.
Qui timent Dóminum sperent in eo : adiútor et protéctor eórum est. Allelúia.

Qui craint le Seigneur,
Qu’il espère en Lui !
Ô toi qui le suis,
C’est ton Protecteur.
Poésie religieuse contemporaine
Allelúia, allelúia. V/.Ps. 113, 11.
Qui timent Dóminum sperent in eo : adiútor et protéctor eórum est. Allelúia.
Qui craint le Seigneur,
Qu’il espère en Lui !
Ô toi qui le suis,
C’est ton Protecteur.
Ant. ad Introitum. Ps. 129, 3-4.
Si iniquitátes observáveris, Dómine : Dómine, quis sustinébit ? quia apud te propitiátio est, Deus Israël.
Ps. ibid., 1-2.
De profúndis clamávi ad te, Dómine : Dómine, exáudi vocem meam.
V/.Glória Patri.
Dans Votre sanctuaire,
Nous entrons chargés de péchés ;
Mais, ô Dieu salutaire,
Qui n’en sera point retranché
Si d’un œil trop sévère
Vous jugez nos cœurs entachés ?
Accablés de nos crimes
Et de tous nos forfaits odieux,
Nous crions de l’abîme :
« Ô Seigneur miséricordieux,
À Votre Cœur sublime,
Attirez nos cœurs, notre Dieu ! »
Ant. ad Offertorium. Esth. 14, 12 et 13.
Recordáre mei, Dómine, omni potentátui dóminans : et da sermónem rectum in os meum, ut pláceant verba mea in conspéctu príncipis.
Ô Seigneur qui tenez le sceptre du pouvoir,
Devant qui tout s’incline, enfer ou terre ou Cieux,
Souvenez-Vous de moi, qui remis mon espoir
Entre Vos mains, mon Dieu.
Je ne veux plus chanter des vers vains et frivoles
Qui réjouissent le cœur des hommes qui mourront ;
Dans ma bouche, versez Vous-même les paroles
Qui toujours Vous plairont.
Secreta.
Da, miséricors Deus : ut hæc salutáris oblátio et a própriis nos reátibus indesinénter expédiat, et ab ómnibus tueátur advérsis. Per Dóminum.
Que ma faute, ô Seigneur, est lourde et monstrueuse !
Chaque jour qui passe ici-bas,
Ma faute est plus pesante, et m’est plus douloureuse,
Elle m’écrase, elle m’abat,
Et je plie comme un âne effondré sous le bât.
Que l’ennemi, Seigneur, semble avoir de puissance !
Sans cesse il rôde, l’œil mauvais,
Pour démolir encor mes restes d’innocence,
Il me suit partout où je vais,
Que je voyage au loin, ou lise à mon chevet.
Mais, ô Seigneur, voici l’offrande salutaire
Que Votre prêtre, sous Vos yeux,
Prépare pour offrir l’Immolé volontaire ;
Daignez protéger nos cœurs pieux
Des crimes de nos cœurs et de l’ange orgueilleux.